Malgré les annonces de restrictions budgétaires à venir pour le spectacle vivant, malgré les incertitudes pour soi ou les autres compagnies, le sourire, les émotions et les regards reconnaissants étaient intacts lors des représentations de ce début d’Hivernales.
Par Michèle Périn
Publié le 10/02/25
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On retiendra de ce début de programmation beaucoup de mots , de couleurs, de sons, avec des musiciens au plateau, des effets lumineux, des proximités narratives. Dès la première soirée, avec « The way Things Go », le chorégraphe autrichien Christian Ubl a su modéliser sur scène ce lien tenu qui nous unit le temps d’un spectacle , la façon dont les choses se passent, ce fluide qui circule ou rebondit à travers les sons — incroyable Romain Constant en magicien des sons en live — les corps, les voix et les lumières…
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